Après Silver Autonomie et Terroirs et Avenir, un nouveau fonds complète depuis peu la gamme proposée par la boutique fondée par Jacques-Antoine Philippe et Mathieu Philippe.

Lancé en décembre dernier à l’initiative de quelques familles, Colville Générations poursuit un objectif ambitieux : investir dans des entreprises qui vont contribuer à rendre le monde meilleur pour les générations futures. « Les familles à l’origine de ce lancement, dont certaines ont été conseillées sur l’aspect #ESG par Cedrus & Partners, ont voulu concilier performances financières, bonnes pratiques ESG et impact. La préservation de la planète, la santé et l’économie durable sont les principaux thèmes du fonds », expliquent les deux fondateurs.

On trouve ainsi dans le portefeuille, composé d’une trentaine de titres, des acteurs de la transition énergétique, du bio, du numérique, des fabricants de médicaments biopharmaceutiques… « Nos clients veulent privilégier des entreprises ayant intégré dans leur positionnement les bonnes pratiques ESG et une bonne gouvernance et ayant des objectifs environnementaux et sociaux bien définis ». 

Colville Générations a rapidement eu du succès puisque, en quelques mois, il est passé de 17 à 56 millions d’euros d’encours début septembre. Deux mois à peine après son lancement, il obtenait le label #ISR à l’instar des autres produits de la gamme. La société, qui a développé sa propre méthodologie #ESG, veut aller encore plus loin en formalisant sa démarche d’impact afin que toute sa gamme passe en article 9 du règlement #SFDR début 2022. 

En plus du succès du nouveau fonds, Colville Capital Partners affiche une belle collecte, principalement portée par le fonds Silver Autonomie, dont l’encours est passé de 75 millions en mars 2020 à 365 millions fin août 2021. Au global, les actifs gérés par la société s’élèvent à environ 500 millions d’euros. « Après avoir étoffé la gestion avec le recrutement de deux analystes, nous souhaitons désormais constituer une équipe commerciale. C’est une nouvelle étape de notre développement qui a été, jusqu’à présent, porté par le bouche-à-oreille », concluent Jacques-Antoine et Mathieu Philippe.